Marc Capelle, qui a effectué plusieurs missions à Sarajevo en qualité de directeur des activités internationales de l’Ecole Supérieure de Journalisme de Lille et d’attaché audiovisuel régional à l’Ambassade de France, revient sur ces années passées en Bosnie-Herzégovine et publie, aux éditions Le Gaulois nomade, deux courts romans, « Sarajéviennes » et « Communauté internationale », rassemblées en un seul livre. Un magnifique hommage aux femmes de Sarajevo et une critique virulente à la communauté internationale et au microcosme de l’aide internationale en Europe de l’Est. A lire absolument.
« Sarajeviennes »
Sarajevo au début des années 2000, un peu plus de cinq ans après la fin de la guerre en Bosnie-Herzégovine. Sonja, Aida, Elma, Zehra, Jasminka… Des jeunes femmes affrontent leur nouvelle vie, après avoir vécu le siège de la ville et face à des étrangers qui souvent ne les comprennent pas.
« Communauté internationale »
Ils passent de Kaboul à Sarajevo, de Paris à Budapest… On les appelle les « internationaux ». Ils travaillent dans des ambassades, pour l’ONU, l’OSCE, l’Unesco… Un monde à part. Parmi eux, un petit groupe s’organise clandestinement pour agir là où il estime que les institutions qui emploient ces experts, diplomates, militaires, sont inefficaces.
Le livre, édité en version numérique, est disponible à l’achat sur Amazon ou sur la page de Marc Capelle sur le site de l’éditeur Le Gaulois nomade
A lire l’interview avec Marc Capelle dans la prochaine newsletter de BH Info
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