Entre tonnelle définitive et tonnelle démontable, le montage n’est pas le même. De même, une tonnelle indépendante ne s’installe pas de la même manière qu’une tonnelle adossée. Quel que soit le choix que vous faites, il convient de faire le point de tout ça.
La fondation de la tonnelle
Pour être durable, une tonnelle doit reposer sur une fondation résistante. Tout dépendra de l’espace que vous lui dédiez. Dans un jardin, il peut y avoir deux cas :
- un sol friable ou sablonneux, et
- un sol en béton.
Pour le sol sablonneux, il faudra couler une dalle de la taille de la superficie que vous souhaitez couvrir pour solidifier la fondation. Si votre sol est déjà en béton, vous disposez déjà de la fondation qu’il faut. Il faudra ensuite prendre les mesures de l’écart entre chaque poteau avant de passer à la fixation.
La fixation des pieds
Une fois que vous avez la bonne fondation, il faut déterminer la méthode de fixation des pieds. Il y en a deux :
Le scellage au béton
Le scellage au béton est la méthode favorite utilisée pour les tonnelles définitives en bois ou en acier. C’est aussi la méthode qui promet le plus de stabilité et de durabilité. Pour y arriver, il faudra insérer le pied de la tonnelle dans le trou avec un fond fait de lit de gravier d’une épaisseur relative. Ensuite, il faut couler le béton pour ensuite laisser sécher deux jours avant de poursuivre le reste du montage. Pour plus d’infos sur ce type de tonnelle autant vous rendre sur un site spécialisé.
L’ancrage métallique
C’est la solution la plus utilisée pour l’installation des tonnelles amovibles. Elle est faite grâce à des ancres en acier qui sont vissées contre le socle ou dans le sol en U ou en H. Cette méthode sert aussi à maintenir les pieds d’une tonnelle en bois susceptible de pourrir avec le temps.