Qui se souvient encore de ces dizaines de milliers de femmes bosniaques violées, voire réduites en esclavage sexuel pendant le conflit qui a ensanglanté l’ex-Yougoslavie de 1991 à 1995 ? Leur calvaire, dénoncé » par Amnesty International dès 1993, retracé avec talent par une cinéaste irlandaise, Juanita Wilson, dans le film « As if I am not there » sorti en France l’hiver dernier ou par l’actrice et cinéaste américaine Angelina Jolie (« Au pays du sang et du miel »), a été oublié même dans leur pays où rien n’a été fait pour leur venir en aide.
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